Structure de la Matière
Par Heim Gilbert
Structure de la matière
Que ce soit la matière ou l’esprit, toute chose est constituée selon un système immuable :
1) une ossature hiérarchisée.
2) un sens de fonctionnement polarisé.
3) un système de distribution.
Dans le monde cosmique l’ossature hiérarchisée est constituée des différentes galaxies, allant de celles du centre du Cosmos vers celle de l’extérieur en cercles concentriques en forme de vortex. Le sens de fonctionnement polarisé va du sens positif au centre du cosmos vers le négatif à l’extérieur. Le système de distribution est énergétique dans le sens de sa polarisation.
Les fluides énergétiques sont innombrables et très mal défini par notre science car appartenant aux mondes invisibles.
Dans le monde terrestre l’ossature hiérarchisée est constituée des différentes couches sédimentaires allant du centre de la terre (magma) vers sa surface. Le sens de fonctionnement polarisé va de l’hémisphère sud (négatif) vers l’hémisphère nord (positif). Les fluides énergétiques sont en partie connus, ceux qui sont actuellement méconnus sont directement reliés aux rayonnements cosmiques. Ceux qui sont les plus connus, sont ceux visibles : les courants dans les mers, les cours d’eau, les vents, les failles sismiques. Les courants connus mais non visibles : les courants telluriques, les courants cosmiques, les courants d’air, les courants électriques, les courants magnétiques etc…
Dans le corps de l’homme l’ossature hiérarchisée est constituée : de son squelette et de ses organes. Le sens de fonctionnement polarisé va de son cortex cérébral vers ses pieds reliés à la terre.
Ses fluides énergétiques visibles sont : ses nerfs, ses artères, ses veines, son conduit auditif, son conduit nasal, son conduit digestif, etc…
Les courants non visibles : les méridiens du corps, les chakras, le magnétisme de son corps visible et de ses corps subtils, les courants cités plus haut comme visibles, invisibles dans les corps subtils.
Dans le principe de la structure de la matière l’ossature hiérarchisée sera présentée dans le tableau
A (on a illustré les hypostases typiques du flux énergétique, tout le tableau étant d’ailleurs des hypostases du flux énergétique).
Le fonctionnement polarisé dans le tableau B (il y a des aspects de multiplication des hypostases du tableau A. Si on considère les "individus" dans le tableau A, on trouve leur multitude dans le tableau B).
Les systèmes de distribution dans le Tableau C (mettent en évidence les relations apparues dans le tableau B, comme milieu "ambiant", à une contribution modélisatrice dans l’évolution de la matière vers le complexe. Les divers tableaux "La structure de la matière", dans cet ouvrage, est une image synthétique de l’évolution et de l’organisation de la matière. La description de ces tableaux commence du simple vers le complexe, toute particule atomique peut se transformer en champ, c’est-à-dire en vide...
A - L'hypostase
Le mot hypostase désigne une Substance fondamentale. L'étymologie donne, pour le grec upostasis : estanai = "base, fondement, substance", upo = "dessous".
Ce sont des principes premiers, des Réalités fondamentales, relevant de la métaphysique ou de la théologie.
Dans la doctrine chrétienne, l’hypostase est chacune des trois Personnes divines de la Trinité, chacune considérée comme distincte mais substantiellement une (consubstantielles). Les théologiens disent qu'il y a en Dieu trois hypostases et une seule nature dans la Sainte Trinité. Les querelles entre les théologiens des premiers siècles de l'ère chrétienne portent sur le contenu que l'on donne aux mots personne (d'origine latine), hypostase (d'origine grecque), substance (d'origine latine), et nature. Les débats se croisent avec ceux de l'intelligence de la personne du Christ : une seule personne hypostase en deux natures.
A1) De champ (Le vide)
La position A1 est le vide, ou l’hypostase de champ de la matière, le flux énergétique.
Le champ du flux énergétique n’est pas un "concept", un "champ hypothétique", il est une réalité objective, le vide qui peut devenir ce qu’on appelle matière, de même que ce qu’on appelle matière peut être transformé en champ.
C’est seulement la dénomination de ce champ qui est conventionnelle. Il peut être nommé informationnel, tensoriel, éthérique, vide etc.
Dans cette vision le champ du flux énergétique s’étend à l’infini et il est, si non synonyme, au moins parallèle à l’infini. C’est le vide qui ne peut pas être disloqué ou comprimé mais qui peut être orienté ou perturbé. C’est le champ réellement existant partout, dans lequel se manifeste le spectre électromagnétique.
Les phénomènes qui se déroulent dans ce champ ne laissent pas de place à la notion de "densité". La vitesse constante "c" de la lumière – de la propagation des perturbations du flux d’énergie – est un reflet de ses propriétés et de sa structure homogène et universelle. Le flux énergétique contient dans ses propriétés toutes les informations nécessaires à l’organisation de la matière qui peut être examinée.
A2) Le nucléon
Dans A2 on dépasse donc une première substance du flux énergétique, la formation énergétique la plus stable – le nucléon, qui peut engendrer des hypostases de nuance de l’énergie, champ électrique, champ magnétique, champ gravitationnel et ondes. Donc, "la substance" du champ électrique, magnétique et gravitationnel et même du nucléon c’est la même – l’énergie. "L’enchaînement" de l’orientation en direction et sens de l’énergie dans le nucléon lui confère la force, l’énergie de liaison prouvée dans l’expérimentation.
A3) L’atome
L’atome des éléments avec "les accumulations qualitatives", je le place simplement en A3, comme une nouvelle substance du flux énergétique.
La simplicité apparente des atomes dévoile non seulement la potentialité de certaines combinaisons complexes, mais aussi les règles de leur interaction, les lois de la chimie, de la physique, de la mécanique.
Nous ne nous étendrons pas sur cet élément, mais il nous faut le citer dans la structure.
A4) La cellule
Voilà comment dans A4 on a une autre substance du flux énergétique, la cellule.
Entité fondamentale des structures complexes de l’état vivant, la cellule a donc sa vie, une existence limitée et avant tout la capacité de reproduction.
Dès maintenant on constate que la vie est une "onde", une "estafette" en répétition continue. Apparemment, la vie est pérenne, en fait pérennes ne sont que "la méthode", l’onde, les propriétés fondamentales de la structure matérielle mais les entités, les édifices substantiels vivants, les êtres sont évidemment éphémères.
La cellule est l'unité d'organisation structurale des systèmes vivants, c'est-à-dire qu'elle est le plus petit système compatible avec la Vie qui implique une régulation et une coordination des activités. Elle peut soit être un organisme à part entière, ou bien constituer un élément d'un organisme pluricellulaire constitué de plusieurs cellules qui coopèrent : de quelques cellules, pour les plus simples, jusqu'à plusieurs millions de millions de cellules, pour les plus complexes.
A5) Le règne minéral
Dans A5 on a la substance du minéral complexe, à organisation de lumière, de couleurs, de cristallisation et d’énergie vibratoire. La constitution du minéral issu de la transformation de gaz en matière solide, puis d’évolution dans sa constitution, de la plus dure (cristal de roche, améthyste, citrine) à la plus tendre (calcite, silice, jais). L’élément minéral étant au début de la chaîne de la création des êtres de la terre.
A6) Le règne végétal
Dans A6 on a la substance de l’organisme végétal complexe, la plante, à organes différentiés, spécialisés – racine, tige et feuilles. Issu, dans l’évolution, du minéral, amène les mêmes vibrations dues à la lumière, la couleur mais en plus à sa composition chimique.
Le règne végétal est un assemblage polyphylétique (qui est de la même famille sans être issu de la même souche) d’organismes photosynthétiques et dont la paroi est faite de cellulose. Ce groupe est formé de deux lignées, l’une d’algues, et la seconde de plantes terrestres, qui comprennent notamment les bryophytes (mousses et hépatiques), fougères, gymnospermes et angiospermes. Il existe environ 300000 espèces de plantes à fleurs, diversifiées depuis le Crétacé (70 millions d’année), 900 espèces de Gymnospermes (Conifères, Cycades, Gnétales), diversifiés depuis probablement la fin du Carbonifère (300 millions d’année), 20000 espèces de fougères, diversifiées depuis le début du Carbonifère (360 millions d’année), 10 000 espèces de mousses et 4000 d’hépatiques. Les champignons ne font plus partie du règne végétal, et forment un règne identifié (Fungi). Les algues forment un ensemble polyphylétique (algues vertes, brunes, etc..).
A7) Le règne animal
Et voilà comment dans A7 apparaît une nouvelle entité, substance du flux énergétique, l’organisme animal. Dans une évolution et adaptation au milieu continues, avec des organes spécialisés de locomotion, de défense et d’orientation, l’organisme animal tend à dominer la planète.
Un animal (du latin animus, esprit, ou principe vital) est, selon la classification classique, un être vivant hétérotrophe, c’est-à-dire qu’il se nourrit de substances organiques.
On réserve aujourd'hui le terme animal à des êtres complexes et pluricellulaires, bien qu’on ait longtemps considéré les protozoaires comme des animaux unicellulaires. Comme tous les êtres vivants, les animaux ont des semblables avec qui ils forment un groupe homogène, appelé espèce.
Dans la classification phylogénétique (classification des êtres vivants) actuellement en vigueur, le taxon des animaux a été remplacé par celui des métazoaires qui sont définis comme des organismes eucaryotes (organismes compris dans quatre grands règnes du monde du vivant : les animaux, les champignons, les plantes et les protistes) pluricellulaires mobiles hétérotrophes (organisme vivant se nourrissant de matière organique).
Dans le langage courant, le terme « animal » est souvent utilisé pour distinguer les humains du reste du monde animal, bien que l'Homo sapiens fasse partie du règne animal. De même, toujours dans le langage courant, « animal » fait référence à des animaux supérieurs, par opposition à certaines formes animales perçues comme plus primitives comme les éponges (Porifères), les Coraux, ou les Anémones.
A8) L’homme
A8 représente l’être raisonnable, intelligent – l’homme. L’homme est, donc, l’entité avec l’organisation de la matière la plus complexe, la substance la plus incroyable du flux énergétique. On peut remarquer dans ce tableau que la matière s’organise de proche en proche dans une accumulation continue de liaisons optimum, conditionnées par le milieu ambiant.
Le sens de la vie appartient exclusivement à la matière et représente, en essence, l’organisation de la matière vers le complexe. L’homme est l’une des formes par lesquelles se peut réaliser cette organisation. On ne peut pas du tout dire que le nouveau-né commence sa vie de zéro ! Le nouveau-né est une accumulation, une continuité dans le temps cosmique, de l’organisation de la matière vers le complexe.
B – La Multiplication
B1) La Multiplication Des champs créent les formations énergétiques
Nous consignons ici l’existence des formations énergétiques, nucléons, électrons, ondes.
Le nucléon est la seule particule stable. Les autres particules élémentaires sont interprétées comme formations énergétiques instables. L’électron, étant une formation énergétique instable, tout simplement perd les qualités avec lesquelles il est accrédité.
A présent, tous les phénomènes de la physique électrotechnique et électronique sont interprétés à l’aide de l’électron. Ainsi, les phénomènes relatifs à l’électricité ont conduit pas à pas à la formation, premièrement imaginaire, de la particule élémentaire responsable de l’évidence des phénomènes, autrement incompréhensibles.
L’électron se trouve à la base de toute interprétation des phénomènes électriques et il est « doué » à des propriétés multiples, parfois confuses, mystérieuses. Pourrait-il que cette particule soit le « paravent » derrière lequel il se trouve les vrais phénomènes ?
Dans ce cas les interprétations des phénomènes de la physique fondamentale concernant le rôle de l’électron se changent complètement. Ici il n’y a pas d’ignorance ou de l’absurde. La matière reste un mystère, qu’on trouve dans la sphère d’interprétation du "big bang". Les qualités et les propriétés des formations énergétiques sont des qualités de l’énergie inclus dans les formations énergétiques.
Avec les formations de flux énergétique on entre dans la catégorie des notions et des phénomènes classiques ; on parle alors du nombre des formations sur l’unité du volume, c’est-à-dire de la densité, de la masse, de l’énergie, de la mécanique, du mouvement etc. Seul le trafic de l'énergie permet l’évolution ou le maintien de la création ! L’énergie dite électrique est souvent perturbatrice du corps humain car celui-ci est géré par le magnétisme.
B2) La Multiplication des Nucléons crée le plasma"
La multiplication des substances de l’énergie A2 acquiert en B2 la dénomination de plasma. Dans le plasma se passent des réactions d’association et dissociation des formations de flux énergétiques, qui amplifient le milieu rappelé en C1, nommé énergie.
Le milieu de B2 signifie des conditions d’association des nucléons dans des nouvelles entités – les atomes.
On pourrait nommer la position B2 - "usine à fabriquer des atomes". La formation de flux énergétique fondamentale, "piège de l’orientation du flux énergétique " ou "nœud de l’infini" ou orientation accouplée du flux de l’énergie tout comme on l’a déjà montré, a une certaine configuration spatiale déterminée par les propriétés de l’énergie.
Cette véritable "coiffure" est la même pour tous les nucléons. En fait, le nucléon est "seulement" coiffure énergétique, qui entre en vibration comme un diapason, ayant la tendance de se libérer. Cette configuration, avec sa propre résonance, est "le dot" de milieu auquel se présente l’hydrogène dans toutes ses combinaisons, est "l’information de reconnaissance", "le mot de passe" même des nucléons, à leur niveau d’organisation.
Des combinaisons des nucléons dans les noyaux des éléments vont résulter des configurations des polarités, des "coiffures topographiques" spécifiques à chaque élément, informations auxquelles elles vont entrer dans les structures cristallines ou des combinaisons cellulaires. Il est à remarquer que dans cette hypothèse les éléments, les atomes ne se réunissent pas par l’intermède des électrons, mais par les propriétés des nucléons. L’information de reconnaissance, "le mot de passe" est, donc, propre à chaque élément, aussi comme à chaque niveau d’organisation de la matière et constitue "le critère de la sélection naturelle".
B3) La Multiplication des atomes crée les corps stellaires et planétaires des cellules
La multiplication des éléments, en B3, dévoile sa splendeur à des dimensions cosmiques, à forme de corps stellaires et planétaires, où leur "comportement" au niveau cosmique montre que le "dialogue" entre les formes matérielles est parfaitement gardé à ce niveau aussi.
De ces corps, les planètes sont les formes qui permettent de continuer l’évolution de la matière vers le complexe, "leurs conditions privilégiées" ne sont d’autre chose que l’accomplissement du milieu nécessaire pour réaliser "le rappel" à des liaisons toujours plus complexes entre les atomes des éléments.
Dans B3 une nouvelle voie d’agrégation de la matière apparaît, différente de celle des cristaux, la voie des liaisons harmoniques, fonctionnelles, strictement dépendante des paramètres du milieu, ayant pour résultat une nouvelle entité – la cellule.
Essayons de souligner une possible variante de passer à la structure vive de la matière, offerte par le modèle atomique de flux énergétique. Une caractéristique générale des structures atomiques est la vibration. Tout comme la liaison du nucléon avec l’électron détermine un mouvement permanent d’approchement ou d’éloignement, l’électron se trouve donc dans une vibration permanente par rapport au nucléon, de la même manière les liaisons entre les atomes d’un cristal vont déterminer une vibration continue. Ces vibrations reflètent "la plage", la tolérance de la stabilité de la structure.
Quand le milieu est "pauvre", donc l’énergie cinétique environnante est petite, la vibration est diminuée et la stabilité augmentée. Au contraire, quand le milieu est "riche", la vibration augmente et tend à rompre les liaisons, vers la désagrégation. Le phénomène est bien connu et utilisé en technologie. Mais les autres états d’agrégation de la matière sont accompagnés aussi par ce phénomène.
Cela nous fait supposer que, parmi les cinq éléments de base du vif, ce phénomène fonctionne dans des limites très larges, des vibrations simples jusqu’à des échanges de liaisons, les phénomènes étant strictement favorisés par le milieu, l’énergie cinétique, à rôle déterminant dans les structures vivantes. Dans ces conditions, le milieu et les forces de liaison sont conditionnées réciproquement au niveau local (au milieu riche les forces de liaison diminuent et inversement), formant une véritable "pompe biologique". "Ici" doit être "le jeu à la vie", - le moteur du vif.
Même si ces "bio-oscillateurs", des groupes d’éléments avec des modifications conditionnées réciproquement, plus simplement avec "des liaisons harmoniques", paraissent avoir des oscillations de type "entretenu" et que l’impulsion, ou les facteurs qui entretiennent les oscillations "et les prennent" du dehors du groupe, le temps, la durée des oscillations est limitée. Les bio-oscillateurs avec leurs liaisons harmoniques pourraient constituer "les briques", de l’édification de la cellule. Ils pourraient être aussi ce qu’on appelle aminoacides, enzymes virus etc.
B4) La Multiplication des cellules créent la bio-structures des minéraux.
Dans B4, la multitude de cellules et leurs propriétés rendent possible leur association et spécialisation, la formation de nouvelles entités, des matières, qui constitueront à leur tour des organismes vibratoires, les minéraux.
La création d’une population minéral va permettre le début d’une vie terrestre. Les éléments énergétiques venant par radiations du Cosmos vont transformer les gaz existant en un magma volcanique, qui en se refroidissant va constituer le règne minéral.
B5) La Multiplication des minéraux créent le règne des plantes
Dans B5, la multitude de cellules minérales et les molécules créées par leurs vibrations produisent de nouvelles entités, des tissus, qui constitueront à leur tour des organismes vivants, des plantes.
La multiplication des minéraux se créera grâce à la chaleur de l’état volcanique de la terre et à l’ajout de nouvelles substances de flux énergétiques provenant du Cosmos. Cette évidence remet en cause la notion d’immuabilité de notre monde, notion scientifique très contestable. Car cette notion ne laisse aucune place à l’évolution de la matière, donc remet en cause le flux énergétique, donc le divin.
B6) La Multiplication des végétaux crée le règne des animaux.
La population de plantes dans B6 est représentée par le règne végétal.
Petit à petit, la végétation s’élargit de l’eau vers la terre, améliore son milieu, stimulée par la lumière et la circulation de l’eau, forme le sol fertile et revêt la planète d’un nouveau vêtement – la biosphère.
Réellement cet "habit" planétaire est un nouveau niveau, un nouveau stade d’organisation matérielle, un état dynamique, cyclique et oscillatoire à de nouvelles possibilités combinatoires et de nouveaux "rappels" vers une organisation complexe de la matière.
La diversité et la variété morphologique des plantes, ont des relations avec les stimuli, ajoutant un nouveau type de relations entre les individus et surtout entre les espèces, résultat de la "densité" des organismes végétaux.
Le résultat de la cohabitation de la multiplication de B6 transforme les réactions de réponse aux stimuli naturels, des actions réflexes en "sens" spécifiques. La nouvelle catégorie des êtres vivants se différencie petit à petit, se présentant comme des organismes mobiles, avec des différences de plus en plus essentielles envers le règne animal, mais qui se développent dans le milieu préparé par celui-ci, comme une succession naturelle dans l’évolution de l’organisation de la matière – l’organisme animal.
B7) La Multiplication des animaux crée le règne de l’homme
La population de ces organismes forme dans B7 le règne animal.
Celui-ci se développe dans une adaptation continue au milieu ambiant, conformément à la sélection naturelle.
Les animaux perfectionnent leurs organes "auxiliaires", comme réponse aux stimules de milieu. Ainsi, les organes de locomotion des animaux ont eu pour point de départ les formes primitives de cils, arrivant à une grande diversité, imposée par les conditions du milieu où ils vivent.
Aux animaux de terre se sont développés les pieds, variés comme forme et performances.
Aux animaux d’eau, les organes de locomotion se sont adaptés aux conditions de ce milieu et ont une forme d’ailerons ou de pale.
Les oiseaux ont développé des ailes, adaptées aux conditions du milieu atmosphérique et des griffes, variées comme forme et performances.
Les organes d’orientation aux animaux sont en réalité des organes de sens. Ils sont des réponses spécialisées aux stimuli du milieu naturel. Au début, les stimuli étaient réceptionnés d’une manière différenciée, par toutes les cellules de la surface du corps - par le tégument. De celui-ci se sont imposées petit à petit la différenciation et la spécialisation des organes de sens.
Si les obstacles solides ont stimulé le développement et la spécialisation des organes tactiles, le rayonnement lumineux a stimulé la structuration des organes du sens visuel, les vibrations acoustiques ont stimulé le développement des organes du sens auditif etc.
Mais les organes de sens ne sont spécialisés que dans la réception des informations, qui sont transmises au cerveau par le système nerveux, un autre organe "auxiliaire" dont la structure cellulaire est spécialisée dans l’interprétation des informations et le renvoi des décisions aux organes d’exécution. Les organes de sens, le cerveau et les organes d’exécution forment un système qui "répond" aux stimuli naturels...
B7) La Multiplication des animaux crée le règne de l’homme
L’apparition des animaux "doués" de sens et de système nerveux central s’est produite dans les conditions d’une véritable lutte pour l’existence, pour se procurer de la nourriture.
L’espèce qui en est sortie triomphante a été l’homme, comme le seul être qui devint intelligent.
L’intelligence a signifié des accumulations d’informations, par l’utilisation raisonnable des sens et des aptitudes dans la création et l’utilisation des outils, mais surtout dans l’emploi du langage.
Si l’information "coulait" jusqu’à l’homme d’une manière naturelle et héréditaire par les sens et les instincts, le langage y a ajouté la forme "conventionnelle", condition capitale dans la création de l’être intelligent.
Le milieu ambiant a stimulé "la nécessité" d’indiquer chaque action, chaque objet, aspect, phénomène etc. par un "code", un "nom", forme de sons articulés qui soient les mêmes et reconnus par tous les individus de la collectivité. Ces informations ont été plus que suffisantes pour déclencher le processus de penser, différemment qu’aux autres animaux.
A côté de l’interprétation momentanée des informations reçues par les organes de sens, le cerveau de l’homme a développé sa capacité de "conserver" ces informations, pour une durée plus longue ou plus courte et implicitement, la propriété de les rendre sous la forme des "souvenirs". La fonction du cerveau de mémoriser s’est développée d’une manière plus accélérée, en même temps que l’utilisation des liaisons conventionnelles – la parole.
L’acte de surcharger la mémoire, "l’accumulation", est plus efficient quand les informations sont répétées ou associées à des événements qui provoquent des sentiments, mais pas absolument réels.
Donc les informations étant naturelles, réelles, "l’interprétation" et la mémorisation peuvent être dénaturées, saisies d’une manière erronée. On peut dire qu’un être intelligent, culte, porte en soi un monde propre, un reflet imaginaire du monde réel, comme référentiel. Ce serait idéal que l’on fasse directement du "référentiel" les informations acquises, par les propres sens, mais en réalité c’est presque impossible. La plupart des informations sont acquises par emprunt, par des intermédiaires, ce qui fait que le monde spirituel soit une copie plus ou moins déformée du monde réel.
La capacité du cerveau de "contrôler" les informations mémorisées à l’aide des sens, constitue "l’âme", "l’esprit" ou "le moi" de chaque être raisonnable. J’ajoute une petite extension à ce sujet, une esquisse. Chaque homme est unique. Il naît, il apprend, il vieillit et meurt. La vie à un début et une fin. « Si je pourrais vivre une autre vie!» Des désirs, des espoirs, même des tentatives : la momification, la congélation ou le transplant du cerveau.
Théoriquement, répéter la vie est possible, mais non pas ainsi. Ce phénomène vraiment arrive naturellement. « Comme il se parait à son père ! » Oui. Héréditairement, parfois se transmettent parfaitement l’allure, le caractère, la voix etc.
Par le fils, le parent renaît effectivement. La différence est le moi, la conscience de l’existence, l’instruction – l’information. S’imposent des raisonnements sérieux. Il y a ici des éléments d’analyse connus et d’autres qui attendent à être connus. L’essence du sujet, le moi de l’être qui désire être « prolongé » est information.
Or, il y a plusieurs techniques de travail avec l’information en développement. Ainsi vivent parmi nous des gens, des personnalités qui sont disparus depuis longtemps, mais qui ont laissé des mémoires, des œuvres ou des faits, part des informations de leur moi.
Nous en voulons plus, bien sûr. On fait des comparaisons de plus en plus souvent entre l’être (l’homme) et l’ordinateur, qui tend vers le statut d’être. Les deux parties ont en commun l’information binaire. A l’ordinateur, l’unité d’information, le bit, passe par des circuits logiques, en forme dynamique et se fixe dans les mémoires, en forme statique. La forme statique peut être modifiée, mixée, lue ou effacée. La lecture est une traduction compatible avec les sens visuels et auditifs de l’être humain.
Avant de lire, l’information est cherchée, en suivant un tracé avec adresses et puis sélectionnée.
A l’être humain, l’unité d’information doit être la polarité électrique et magnétique.
Dans le futur, lorsqu’on constate que le système nerveux est en effet électricité, et lorsqu’on connaîtra mieux les phénomènes de transmission de l’information par les organes de sens, les tracés et les adresses jusqu’à la mémoire, lorsqu’on connaîtra mieux les phénomènes d’écrire et d’accéder l’information jusqu’au niveau de la mémoire, alors, par une interface, on pourra copier les informations accumulées par un être humain, sur une batterie de mémoires artificielles et vice versa.
Alors le moi d’un homme pourrai être transféré ou multiplié. L’homme pourra vivre plusieurs vies. Le problème du support, du corps est presque solutionné dès maintenant, par clonage. L’école, la faculté, l’enseignement seront un simple clic.
B8) La Multiplication de l’homme crée la civilisation
La multitude de gens, leur population dans B8 signifie les civilisations humaines.
Le représentant de ces civilisations, l‘homme, est le seul animal mécontent des performances de "ses organes auxiliaires" et il est le plus agressif être terrestre. Il a désiré et il a réussi à élargir les performances de ces organes. Il a désiré courir plus vite que tout autre animal. Au début il a construit des moyens rudimentaires, puis sont devenus des voitures de performance, couvrant la planète d’un réseau de chaussées et de voies ferrées. Il a voulu voyager sur l’eau et dans l’eau et il a transformé la pirogue en bateaux et sous-marins. Il a désiré voler plus vite et plus haut que les oiseaux, et, du moyen rudimentaire, le ballon, il a passé rapidement à la machine de performance, l’avion à réaction. Il a voulu entendre et voir à grande distance et il a réalisé les étonnants moyens de transmissions.
Si, au début, les connaissances, les enseignements étaient transmis de génération en génération par des "rites", non pas par hérédité, puis par monuments, par des inscriptions en pierre ou des petites plaques en argile, par des écrits sur parchemin ou des impressions sur le papier, maintenant ces véritables "mémoires externes" sont stockées dans des gigantesques ordinateurs électroniques.
L’être intelligent ne s’est pas contenté de la force du poignard et, du moyen rudimentaire, de la matraque, il est arrivé à la machine de performance, la bombe atomique. On a affirmé que tout processus dans l’organisation de la matière se trouve en corrélation avec le milieu ambiant. Quel trait de ce milieu de B8 a stimulé les étonnantes performances ? Et pourtant le stimulent de B8 existe ! C’est l’instinct ancestral de l’agressivité que nous avons encore en nous. Dans le milieu ambiant de B8, le brouillard de la guerre a glissé tout le temps et il glisse encore. Toutes les performances techniques de la civilisation mises "au service de l’homme" ont eu en réalité un seul stimuli – la guerre.
Et pourtant ! Et pourtant, le carré B8 a un fruit saisissable au niveau du milieu ambiant et il s’appelle l’auto-connaissance. L’auto-connaissance est ici l’appel fébrile à la connaissance d’un autre monde, d’autres planètes aussi ! La prochaine étape devrait logiquement être “La multiplication des civilisations créant la transformation de l’humain en Esprit ou en Ange”. Mais cela sera un autre débat et des informations plus approfondies nous permettrons peut-être cette approche.
Cela est pourtant l’évolution la plus proche de notre humanité terrestre. Un état supérieur de création, dans l’Amour et dans un état de compréhension de notre existence. Dans une évolution de notre Esprit et de notre Âme pouvant dominer nos peur et éliminer nos maladies de créations.
C – L’Esprit
C1) L’esprit du vide crée les liaisons nucléaires
C1 est une conséquence du phénomène de B1.
Dans l’immobile et infini champ du flux énergétique, dans un espace infinitésimal, les particules de champ sont placées, ordonnées dans un accord absolu avec ces propriétés, comme dans un véritable "nœud de l’infini".
L’existence de ces "formations de flux énergétiques" signifie d’ailleurs l’existence des nucléons, des électrons, des ondes y compris. Les ondes ou les perturbations du champ énergétique sont produites par des vibrations des nucléons et des électrons, dans leur tendance de revenir à l’état de champ.
Les relations entre ces types de formations de flux énergétiques sont d’ailleurs "la mise en évidence des propriétés du flux", la source de tous les phénomènes et de toutes les lois de la matière, la cause ou "l’appel" à l’organisation de la matière vers le complexe.
La conclusion fantastique et incroyable est que l’apparition de ces formations ne conduit pas d’une manière implicite à l’apparition de la "densité" dans le champ énergétique ! Autrement dit, la densité, "le poids" d’un nucléon ne consiste pas dans l’entassement de plusieurs composants du flux énergétique, mais dans le "degré" d’orientation en direction et en sens de ceux-ci ! Cette orientation doit être la force qui appelle à l’association, force d’attraction qu’on appelle dans certains cas, poids.
Dans C1 il y a le premier "milieu", le premier et plus fort appel à l’association entre formations – la force nucléaire ou l’énergie nucléaire. Le milieu de C1 est "le début", la source de l’esprit, dont l’évolution est relevée dans le tableau C.
C2) L’esprit du nucléon crée les liaisons atomiques
C2 montre les liaisons nucléaires établies aux différents niveaux – les éléments – à un nouveau milieu, plus faible comme intensité que dans C1, mais à des propriétés nouvelles, ce qui veut dire toujours un appel à des liaisons, mais avec des nouvelles possibilités, avec des nouvelles conditions déterminées par le nombre et la topographie des points de relation, propres à chaque élément et par la richesse des harmonies engendrées.
Ce milieu et les points topographiques de liaison peuvent être les facteurs qui conditionnent et établissent la distance des liaisons entre les atomes. Le milieu représente la dynamique du flux énergétique environnant, le siège de l’écho de l’activité intra et extra- atomique, des forces permanentes et éphémères qui existent dans les atomes des éléments et troublent le flux énergétique vers l’infini.
Celui-ci, le milieu, est "l’auréole" qui accompagne chaque formation de flux énergétique, donc chaque atome ou groupe d’atomes, c’est la zone et le moyen par lesquels durent de multiples dialogues entre ce qu’on appelle formes matérielles. Le milieu, étant un paramètre variable, joue le rôle d’un "élément de commande" des liaisons atomiques sur des niveaux différents d’organisation de la matière. Le milieu représente de l’énergie cinétique.
C3) L’esprit de l’atome créent les liaisons harmoniques
C3 est le surplus de milieu formé dans B3, des liaisons harmoniques ou le dialogue de l’état vivant de la matière.
Tout d’abord un cristal apparaît comme un "embryon" ; il se nourrit et "grandit" additionnant atome par atome, selon un "plan" dicté par les atomes d’initiative, ayant pour informations les propriétés des atomes.
Conformément aux qualités du flux énergétique, le vif n’est pas une apparition "spontanée", non plus la réalisation d’une "intelligence", c’est seulement l’évolution de la structure de la matière.
"L’état vivant" pourrait être l’état d’équilibre des liaisons harmoniques, avec stabilité contrôlée par le milieu. Les bio-oscillateurs et puis la cellule sont devenus des entités dans le développement du tissu vivant, tout comme les atomes des éléments sont des entités dans la composition de la structure des cristaux. Mais, tandis que le cristal additionne les atomes existants, la cellule "fabrique" ses entités par reproduction, les informations nécessaires étant surtout de nature interne.
C4) L’esprit de la cellule créent les liaisons avec les stimulations
L’apparition dans B4 des minéraux, a signifié "l’élargissement" spatial du milieu volcanique. La chaleur du milieu a créé les conditions de la cristallisation des minéraux. Les stimulations créé par le flux énergétique a apporté au milieu ambiant de nouveaux composés chimiques permettant la multiplication des espèces minérales.
C5) L’esprit des minéraux crée les liaisons vibratoires
L’apparition dans B5 des nouvelles entités, les plantes, a signifié "l’élargissement" spatial du milieu où celles-ci se développent, dans des milieux secs, humides, chauds, froids, sombres, claires etc.
Les stimulations de ces milieux ont créé les conditions, le milieu, le dialogue qui a déterminé le développement et la diversification des plantes.
Les stimulations les plus "positives" se sont révélées entre l’eau, la chaleur et la lumière. Comme l’on a déjà dit, la lumière et la chaleur sont des perturbations du flux énergétique, de l’énergie cinétique, tandis que l’eau est le milieu porteur d’entités matérielles, atomes et combinaisons de celles-ci.
C6) L’esprit des plantes créent les liaisons par les sens
Le saut qualitatif réalisé dans B6, l’apparition de l’organisme animal, "doué" de sens, pourrait être comparé au saut structural de la matière, de la forme inerte à la matière vive. Le développement des organes de sens de l’organisme animal, comme réponse à la permanente sollicitation des stimulations naturels, a signifié non seulement l’intégration des animaux à leur milieu de vie, mais aussi les conditions nécessaires pour les évolutions ultérieures, en réalité une amplification qualitative du milieu ambiant.
C7) L’esprit des animaux créent les liaisons conventionnelles
Ce fruit qui se détache de B7 signifie donc les êtres intelligents.
"La dot", le plus d’ambiant ajouté dans C7 est immense. La liaison conventionnelle, le langage, rend possible la pensée raisonnable et déclenche le reflet de l’immensité et des informations étonnantes qui existent dans la nature. A la conscience à peine formée de l’existence dans la vie physique, objective, l’être intelligent ajoute une autre vie, un autre monde, celui de la pensée, de la réflexion – le monde spirituel.
C8) L’esprit des humains créent les liaisons spirituelles. L’auto-connaissance.
L’auto-connaissance de C8 est un éclat positif du sombre B8 et se constitue surtout en "signaux d’alarme".
Certaines installations militaires ont prouvé qu’elles pouvaient avoir d’autres utilisations aussi, excepté celles pour lesquelles elles ont été construites.
Concrètement, les gens ont la possibilité de regarder la terre de "loin" aussi, du cosmos. Les constatations sont éloquentes. La planète est un véritable navire, où la vie est le seul passager. Le milieu ambiant compatible à la vie est en danger pour plusieurs raisons :
- l’accroissement démographique
- l’extension des exploitations industrielles
-l’apparition des réacteurs nucléaires, à graves contributions réelles et potentielles à la déformation du milieu ambiant.
Il est à remarquer que la Terre non seulement ne s’oppose pas à "l’agressivité" des êtres intelligents, mais elle s’en moque même. Pour elle c’est une simple "transformation", une évolution qui, à un moment ou à l’autre, la fera passer à côté des planètes hostiles à la vie, tandis que beaucoup d’autres planètes peuvent débuter dans "cette aventure de la nature".
Logiquement, le fruit de B8 devait mener à l’apparition des "voyages cosmiques". Il y a cette tendance, mais il n’y a pas encore la machine de performance qui utilise et qui s’appuie d’une manière efficiente sur les propriétés du milieu interplanétaire.
L’état de champ de la matière, le flux énergétique, rendent possible, efficient et beaucoup plus simple le voyage spatial illimité, pas avec le moteur d’engin spatial, pas avec le moteur photonique avec antimatière, mais avec le moteur énergétique. Celui-ci utilise les propriétés du flux énergétique. Il peut équiper des vaisseaux cosmiques variés comme formes et dimensions. Il n’a pas des pièces en mouvement. Il fonctionne seulement avec l’énergie magnétique. Il génère de force de propulsion sur l’entière surface extérieure de l’engin spatial vers l’infini. Il interagit avec le champ environnant, le flux énergétique, dans un volume d’un million de milliards de Km. 3, seulement dans la première seconde de départ. Synthèse, évolutions. Toutes les substances du flux énergétique, depuis B1 à C8, sont une continuelle évolution. Le nucléon induit dans l’état de champ de l’énergétique, l’état de formation corpusculaire – le photon. L’existence de la matière contredit la loi de conservation de l’énergie !
Le processus de transformation nucléon – photon – nucléon, ou HLH (hydrogène, lumière, hydrogène) est le seul phénomène qui explique logiquement la dissipation de la matière solide dans l’univers (télé portage!). C’est ainsi que se forment les agglomérations d’hydrogène et de lumière dans tout l’univers. De celles-ci se forment les étoiles, les étoiles forment les galaxies et les galaxies forment l’univers. La vitesse de l’évolution crée l’illusion de l’éternité. Dans les étoiles, par le biais de violentes décharges électriques, l’hydrogène fusionne formant les atomes des éléments légers, ceux-ci se comportant comme des modérateurs du processus HLH, en élevant ainsi la densité et la dynamique de l’étoile et formant des anneaux autour d’un nucléé stellaire.
Le flux énergétique
La vie
Pourquoi existons-nous ?
Plus généralement, pourquoi il y a de la vie ?
C'est quoi la matière vivante ?
Dans la multitude de combinaisons de la structure de la matière, la structure cyclique a été possible aussi. Une séquence de modifications structurelles qui se mémorise dans un code et continue en se générant elles-mêmes d'une manière alternative.
La structure se développe selon le code, réécrit le code, ensuite s'éteint, elle meurt. Cela est une entité matérielle vive, un être.
A la mort, de l'être se détache la graine, le code. Les combinaisons du code développent d'autres êtres, simples ou complexes, avec une vie courte ou longue, avec la même existence cyclique.
Simples : énergie cinétique - énergie potentielle (le code).
Complexes : structure cinétique - structure potentielle (le code).
L'alternance de la structure cinétique, induit "automatiquement" l'alternance de la structure potentielle. Le terme "automatiquement", est l'estafette, la liaison des deux alternances, écrite dans le code. Cette estafette est l'instinct de la reproduction (IR) Ainsi, la matière vive, consiste dans le fonctionnement des relations structurelles répétitives de la matière inerte.
Par la cessation de ces relations, il reste juste la matière inerte. Le vif c'est la forme fonctionnelle de l'esprit dans la structure de la matière. Le vif est esprit.
Je trouve avec grand éblouissement, et conformément à la définition que le premier être est…. la lumière ! Le photon ! Il naît et il meurt, un million de milliards de fois dans une seconde ! Qui se " nourrit " avec la lumière ? Les êtres se nourrissent avec la lumière.
Chez l'homme, l'instinct de la reproduction, subordonne les 5 sens, en formant des sentiments de tendresse et d'amour, une "mante" sous laquelle il se cache. IR domine l'homme jusqu'à la mort.
Les satisfactions sont la récompense et la raison de l'existence. L'instinct maternel, c'est une partie de l'IR.
L'éducation, la carrière, la fortune, cherche seulement, l'amélioration des conditions d'accomplissement de l'IR et de protection des enfants. Le mème phénomène, on le trouve aussi au niveau des communautés, nation ou pays (la tendance vers le bien-être et la protection de la population). Ne pas connaître l’IR, par excès ou abstinence, supprime la mante des sentiments d'amour et l'IR se manifeste par sentiments de rejection, haine et violence, jusqu'à des crimes et guerres
la mort
Lois. Les droits de l'homme. Le droit à la vie, oui. Le droit à la reproduction, relatif.
Le droit à la mort…non. Tous les hommes meurent ! Accidents, maladies, vieillesse, suicides ou meurtres. Les vieux, veulent une "belle" mort. C'est-à-dire rapide et sans souffrance. Cette "chance" est rare. Beaucoup meurent après des années de souffrance. Quelquefois, un tel homme, quand il est "près de sa mort" appelle une ambulance. L'homme est "sauvé de la mort". Il vit encore quelques jours ou heures, dans la mème souffrance. Il ressemble beaucoup à la torture. Ailleurs, ceux-ci sont abandonnés Dans une chambre de la mort, pour mourir, ensuite ils sont brûlés. Le phénomène de la mort est accablé de différents sentiments : rituels, coutumes, croyances.
Sont probablement des raisons pour lesquelles la société, la civilisation, n'ont rien fait, a l'exception de la loi de l'euthanasie, très limitée. Le temps résout tout. Je ne sais pas quand, dans l'avenir, les droits de l'homme, le droit à la vie, le droit à la croyance, le droit à l'éducation, on va ajouter probablement aussi le droit à une mort digne. On aura des édifices spéciaux, avec ambulances, sans spectacles, sans coûts, sans cadavres et sans préjugés. L'homme décidera lui-même de la fin de sa vie. Le phénomène de la mort est une partie de la vie.
Synthèse
Je vous ai établi 3 tableaux : A, B et C comportant 8 cases de l’évolution. Nous pourrions agrandir à l’infini le nombre de case en y ajoutant :
1) Une particule plus petite entre le vide et le Nucléon.
2) En élargissant les composants de l’atome.
3) En s’appesantissant sur la composition plus complexe des cellules.
4) En intégrant les gaz, premières cellules actives.
5) En décomposant la création des minéraux et en ajoutant la longueur d’ondes des couleurs des minéraux.
6) En entrant dans le détail des composants chimiques des végétaux.
En tenant compte des divers règnes animales (ceux nageant, ceux marchant, ceux volant, etc…)
8) L’évolution du genre humain est constituée de maintes civilisations. Chacune d’entre elles étant une évolution humaine en soi. Mais le but primordial est de mettre en évidence le flux énergétique créateur de toute chose. Et surtout d’en faire le rapprochement avec un flux de création divine.
Nous allons revenir ici sur le déroulement de cette évolution. Nous avons pu voir qu’à partir du vide le flux énergétique cosmique crée une substance primaire appelée nucléon. Que la multiplication des nucléons par le même flux énergétique va constituer le début de la matière en créant l’atome. Que la multiplication des atomes grâce à ce flux va créer la cellule. La multiplication de cellules va créer des organismes gazeux qui par l’intermédiaire du flux énergétique vont se transformer en matière plus solide, le magma volcanique, qui en refroidissant va constituer les minéraux. La modification des minéraux et leur multiplication toujours grâce au flux énergétique va nous faire entrer dans l’ère du végétal par l’apport de substances nouvelles. Le végétal en se multipliant et en mutant vers des organismes vivants unicellulaires va préparer, par l’apport de nouveaux flux énergétiques, la créature vivante, animale, pouvant se déplacer et se nourrissant de matière organique et végétal. Par une évolution spirituelle et par l’apport d’une substance de flux énergétique divine, l’âme ou esprit, relié à des créations extraterrestre, nous amène à l’avènement de l’humain. Grâce au développement intellectuel de l’humain, il va se regrouper en communauté, créant des technologies de plus en plus pointues dans le but d’une nouvelle évolution et transformation.
Cette évolution sera l’avènement de l’humain en pure lumière, en pur Esprit.
Notre évolution tient à un fil, un fil de lumière.
Pourquoi, me suis-je lancé dans cette démonstration ?
Pour plusieurs raisons.
Pour vous faire comprendre que sans le flux énergétique cosmique, donc divin, aucune vie n’est possible.
Que ce flux énergétique constitue le magnétisme humain, permettant la reconstruction des cellules créées par ce même magnétisme.
Pour démontrer que tout est substances divines créées par ce flux divin.
Qu’avant l’homme il existait autre chose et qu’après l’homme rien ne sera pareil car tout aura évolué.
Que la structure de la matière, que tout organisme, toute vie sont liés à ce flux énergétique et peuvent< à tout moment retourner au néant, il suffit que les nucléons retournent au vide.
La vie sur terre est en équilibre instable. Par ses débordements, l’humanité remet en cause cet équilibre et défie le monde divin par ses comportements irresponsables. Le monde humain est à la frontière du monde divin. Son évolution est d’assimiler la lumière dispensée par le flux énergétique pour effectuer sa transformation, telle la chrysalide, il doit sortir de son cocon (de son corps).
Date de dernière mise à jour : 18/09/2023