SPIRALE DE LUMIERE

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SPIRALE DE LUMIERE

Structure de la Matière

Structure de la matière

     Que ce soit la matière ou l’esprit, toute chose est constituée selon un système immuable :

 1) une ossature hiérarchisée.

2) un sens de fonctionnement polarisé.

 3) un système de distribution.

     Dans le monde cosmique l’ossature hiérarchisée est constituée des différentes galaxies, allant de celles du centre du Cosmos vers celle de l’extérieur en cercles concentriques en forme de vortex. Le sens de fonctionnement polarisé va du sens positif au centre du cosmos vers le négatif à l’extérieur. Le système de distribution est énergétique dans le sens de sa polarisation. Les fluides énergétiques sont innombrables et très mal défini par notre science car appartenant aux mondes invisibles. Dans le monde terrestre l’ossature hiérarchisée est constituée des différentes couches sédimentaires allant du centre de la terre (magma) vers sa surface. Le sens de fonctionnement polarisé va de l’hémisphère sud (négatif) vers l’hémisphère nord (positif). Les fluides énergétiques sont en partie connus, ceux qui sont actuellement méconnus sont directement reliés aux rayonnements cosmiques. Ceux qui sont les plus connus, sont ceux visibles : les courants dans les mers, les cours d’eau, les vents, les failles sismiques. Les courants connus mais non visibles : les courants telluriques, les courants cosmiques, les courants d’air, les courants électriques, les courants magnétiques etc…

     Dans le corps de l’homme l’ossature hiérarchisée est constituée : de son squelette et de ses organes. Le sens de fonctionnement polarisé va de son cortex cérébral vers ses pieds reliés à la terre. Ses fluides énergétiques visibles sont : ses nerfs, ses artères, ses veines, son conduit auditif, son conduit nasal, son conduit digestif, etc… Les courants non visibles : les méridiens du corps, les chakras, le magnétisme de son corps visible et de ses corps subtils, les courants cités plus haut comme visibles, invisibles dans les corps subtils.

     Dans le principe de la structure de la matière l’ossature hiérarchisée sera présentée dans le tableau A (on a illustré les hypostases typiques du flux énergétique, tout le tableau étant d’ailleurs des hypostases du flux énergétique). Le fonctionnement polarisé dans le tableau B (il y a des aspects de multiplication des hypostases du tableau A. Si on considère les "individus" dans le tableau A, on trouve leur multitude dans le tableau B).

    Les systèmes de distribution dans le Tableau C (mettent en évidence les relations apparues dans le tableau B, comme milieu "ambiant", à une contribution modélisatrice dans l’évolution de la matière vers le complexe. Les divers tableaux "La structure de la matière", dans cet ouvrage, est une image synthétique de l’évolution et de l’organisation de la matière. La description de ces tableaux commence du simple vers le complexe, toute particule atomique peut se transformer en champ, c’est-à-dire en vide...

A - L'hypostase

      Le mot hypostase désigne une Substance fondamentale. L'étymologie donne, pour le grec upostasis : estanai = "base, fondement, substance", upo = "dessous".

Tab a

 Ce sont des principes premiers, des Réalités fondamentales, relevant de la métaphysique ou de la théologie.

     Dans la doctrine chrétienne, l’hypostase est chacune des trois Personnes divines de la Trinité, chacune considérée comme distincte mais substantiellement une (consubstantielles). Les théologiens disent qu'il y a en Dieu trois hypostases et une seule nature dans la Sainte Trinité.

     Les querelles entre les théologiens des premiers siècles de l'ère chrétienne portent sur le contenu que l'on donne aux mots personne (d'origine latine), hypostase (d'origine grecque), substance (d'origine latine), et nature. Les débats se croisent avec ceux de l'intelligence de la personne du Christ : une seule personne hypostase en deux natures.

A1) De champ (Le vide)

     La position A1 est le vide, ou l’hypostase de champ de la matière, le flux énergétique.

     Le champ du flux énergétique n’est pas un "concept", un "champ hypothétique", il est une réalité objective, le vide qui peut devenir ce qu’on appelle matière, de même que ce qu’on appelle matière peut être transformé en champ. C’est seulement la dénomination de ce champ qui est conventionnelle. Il peut être nommé informationnel, tensoriel, éthérique, vide etc.Dans cette vision le champ du flux énergétique s’étend à l’infini et il est, si non synonyme, au moins parallèle à l’infini. C’est le vide qui ne peut pas être disloqué ou comprimé mais qui peut être orienté ou perturbé. C’est le champ réellement existant partout, dans lequel se manifeste le spectre électromagnétique. Les phénomènes qui se déroulent dans ce champ ne laissent pas de place à la notion de "densité". La vitesse constante "c" de la lumière – de la propagation des perturbations du flux d’énergie – est un reflet de ses propriétés et de sa structure homogène et universelle. Le flux énergétique contient dans ses propriétés toutes les informations nécessaires à l’organisation de la matière qui peut être examinée.

A2) Le nucléon

     Dans A2 on dépasse donc une première substance du flux énergétique, la formation énergétique la plus stable – le nucléon, qui peut engendrer des hypostases de nuance de l’énergie, champ électrique, champ magnétique, champ gravitationnel et ondes.

     Donc, "la substance" du champ électrique, magnétique et gravitationnel et même du nucléon c’est la même – l’énergie. "L’enchaînement" de l’orientation en direction et sens de l’énergie dans le nucléon lui confère la force, l’énergie de liaison prouvée dans l’expérimentation.

A3)L’atome

      L’atome des éléments avec "les accumulations qualitatives", je le place simplement en A3, comme une nouvelle substance du flux énergétique.

La simplicité apparente des atomes dévoile non seulement la potentialité de certaines combinaisons complexes, mais aussi les règles de leur interaction, les lois de la chimie, de la physique, de la mécanique. Nous ne nous étendrons pas sur cet élément, mais il nous faut le citer dans la structure.

La simplicité apparente des atomes dévoile non seulement la potentialité de certaines combinaisons complexes, mais aussi les règles de leur interaction, les lois de la chimie, de la physique, de la mécanique. Nous ne nous étendrons pas sur cet élément, mais il nous faut le citer dans la structure.

A4) La cellule

     Voilà comment dans A4 on a une autre substance du flux énergétique, la cellule.

     Entité fondamentale des structures complexes de l’état vivant, la cellule a donc sa vie, une existence limitée et avant tout la capacité de reproduction. Dès maintenant on constate que la vie est une "onde", une "estafette" en répétition continue. Apparemment, la vie est pérenne, en fait pérennes ne sont que "la méthode", l’onde, les propriétés fondamentales de la structure matérielle mais les entités, les édifices substantiels vivants, les êtres sont évidemment éphémères. La cellule est l'unité d'organisation structurale des systèmes vivants, c'est-à-dire qu'elle est le plus petit système compatible avec la Vie qui implique une régulation et une coordination des activités. Elle peut soit être un organisme à part entière, ou bien constituer un élément d'un organisme pluricellulaire constitué de plusieurs cellules qui coopèrent : de quelques cellules, pour les plus simples, jusqu'à plusieurs millions de millions de cellules, pour les plus complexes.

A5) Le règne minéral

     Dans A5 on a la substance du minéral complexe, à organisation de lumière, de couleurs, de cristallisation et d’énergie vibratoire.

     La constitution du minéral issu de la transformation de gaz en matière solide, puis d’évolution dans sa constitution, de la plus dure (cristal de roche, améthyste, citrine) à la plus tendre (calcite, silice, jais). L’élément minéral étant au début de la chaîne de la création des êtres de la terre.

 A6) Le règne végétal

     Dans A6 on a la substance de l’organisme végétal complexe, la plante, à organes différentiés, spécialisés – racine, tige et feuilles. Issu, dans l’évolution, du minéral, amène les mêmes vibrations dues à la lumière, la couleur mais en plus à sa composition chimique.

     Le règne végétal est un assemblage polyphylétique (qui est de la même famille sans être issu de la même souche) d’organismes photosynthétiques et dont la paroi est faite de cellulose. Ce groupe est formé de deux lignées, l’une d’algues, et la seconde de plantes terrestres, qui comprennent notamment les bryophytes (mousses et hépatiques), fougères, gymnospermes et angiospermes. Il existe environ 300000 espèces de plantes à fleurs, diversifiées depuis le Crétacé (70 millions d’année), 900 espèces de Gymnospermes (Conifères, Cycades, Gnétales), diversifiés depuis probablement la fin du Carbonifère (300 millions d’année), 20000 espèces de fougères, diversifiées depuis le début du Carbonifère (360 millions d’année), 10 000 espèces de mousses et 4000 d’hépatiques. Les champignons ne font plus partie du règne végétal, et forment un règne identifié (Fungi). Les algues forment un ensemble polyphylétique (algues vertes, brunes, etc..).

A7) Le règne animal

     Et voilà comment dans A7 apparaît une nouvelle entité, substance du flux énergétique, l’organisme animal. Dans une évolution et adaptation au milieu continues, avec des organes spécialisés de locomotion, de défense et d’orientation, l’organisme animal tend à dominer la planète.

     Un animal (du latin animus, esprit, ou principe vital) est, selon la classification classique, un être vivant hétérotrophe, c’est-à-dire qu’il se nourrit de substances organiques. On réserve aujourd'hui le terme animal à des êtres complexes et pluricellulaires, bien qu’on ait longtemps considéré les protozoaires comme des animaux unicellulaires. Comme tous les êtres vivants, les animaux ont des semblables avec qui ils forment un groupe homogène, appelé espèce. Dans la classification phylogénétique (classification des êtres vivants) actuellement en vigueur, le taxon des animaux a été remplacé par celui des métazoaires qui sont définis comme des organismes eucaryotes (organismes compris dans quatre grands règnes du monde du vivant : les animaux, les champignons, les plantes et les protistes) pluricellulaires mobiles hétérotrophes (organisme vivant se nourrissant de matière organique). Dans le langage courant, le terme « animal » est souvent utilisé pour distinguer les humains du reste du monde animal, bien que l'Homo sapiens fasse partie du règne animal. De même, toujours dans le langage courant, « animal » fait référence à des animaux supérieurs, par opposition à certaines formes animales perçues comme plus primitives comme les éponges (Porifères), les Coraux, ou les Anémones.

A8) L’homme

     A8 représente l’être raisonnable, intelligent – l’homme. L’homme est, donc, l’entité avec l’organisation de la matière la plus complexe, la substance la plus incroyable du flux énergétique. On peut remarquer dans ce tableau que la matière s’organise de proche en proche dans une accumulation continue de liaisons optimum, conditionnées par le milieu ambiant.

     Le sens de la vie appartient exclusivement à la matière et représente, en essence, l’organisation de la matière vers le complexe. L’homme est l’une des formes par lesquelles se peut réaliser cette organisation. On ne peut pas du tout dire que le nouveau-né commence sa vie de zéro ! Le nouveau-né est une accumulation, une continuité dans le temps cosmique, de l’organisation de la matière vers le complexe.

B1) La Multiplication Des champs créent les formations énergétiques

     Nous consignons ici l’existence des formations énergétiques, nucléons, électrons., ondes

     Le nucléon est la seule particule stable. Les autres particules élémentaires sont interprétées comme formations énergétiques instables. L’électron, étant une formation énergétique instable, tout simplement perd les qualités avec lesquelles il est accrédité. A présent, tous les phénomènes de la physique électrotechnique et électronique sont interprétés à l’aide de l’électron. Ainsi, les phénomènes relatifs à l’électricité ont conduit pas à pas à la formation, premièrement imaginaire, de la particule élémentaire responsable de l’évidence des phénomènes, autrement incompréhensibles.

     L’électron se trouve à la base de toute interprétation des phénomènes électriques et il est « doué » à des propriétés multiples, parfois confuses, mystérieuses. Pourrait-il que cette particule soit le « paravent » derrière lequel il se trouve les vrais phénomènes ?

      Dans ce cas les interprétations des phénomènes de la physique fondamentale concernant le rôle de l’électron se changent complètement. Ici il n’y a pas d’ignorance ou de l’absurde. La matière reste un mystère, qu’on trouve dans la sphère d’interprétation du "big bang". Les qualités et les propriétés des formations énergétiques sont des qualités de l’énergie inclus dans les formations énergétiques.

Electron

     Avec les formations de flux énergétique on entre dans la catégorie des notions et des phénomènes classiques ; on parle alors du nombre des formations sur l’unité du volume, c’est-à-dire de la densité, de la masse, de l’énergie, de la mécanique, du mouvement etc. Seul le trafic de l'énergie permet l’évolution ou le maintien de la création ! L’énergie dite électrique est souvent perturbatrice du corps humain car celui-ci est géré par le magnétisme.

B2) La Multiplication des Nucléons crée le plasma"   

     La multiplication des substances de l’énergie A2 acquiert en B2 la dénomination de plasma.

     Dans le plasma se passent des réactions d’association et dissociation des formations de flux énergétiques, qui amplifient le milieu rappelé en C1, nommé énergie. Le milieu de B2 signifie des conditions d’association des nucléons dans des nouvelles entités – les atomes. On pourrait nommer la position B2 - "usine à fabriquer des atomes". La formation de flux énergétique fondamentale, "piège de l’orientation du flux énergétique " ou "nœud de l’infini" ou orientation accouplée du flux de l’énergie tout comme on l’a déjà montré, a une certaine configuration spatiale déterminée par les propriétés de l’énergie. Cette véritable "coiffure" est la même pour tous les nucléons. En fait, le nucléon est "seulement" coiffure énergétique, qui entre en vibration comme un diapason, ayant la tendance de se libérer. Cette configuration, avec sa propre résonance, est "le dot" de milieu auquel se présente l’hydrogène dans toutes ses combinaisons, est "l’information de reconnaissance", "le mot de passe" même des nucléons, à leur niveau d’organisation. Des combinaisons des nucléons dans les noyaux des éléments vont résulter des configurations des polarités, des "coiffures topographiques" spécifiques à chaque élément, informations auxquelles elles vont entrer dans les structures cristallines ou des combinaisons cellulaires. Il est à remarquer que dans cette hypothèse les éléments, les atomes ne se réunissent pas par l’intermède des électrons, mais par les propriétés des nucléons. L’information de reconnaissance, "le mot de passe" est, donc, propre à chaque élément, aussi comme à chaque niveau d’organisation de la matière et constitue "le critère de la sélection naturelle".

B3) La Multiplication des atomes crée les corps stellaires et planétaires des cellules

     La multiplication des éléments, en B3, dévoile sa splendeur à des dimensions cosmiques, à forme de corps stellaires et planétaires, où leur "comportement" au niveau cosmique montre que le "dialogue" entre les formes matérielles est parfaitement gardé à ce niveau aussi.

     De ces corps, les planètes sont les formes qui permettent de continuer l’évolution de la matière vers le complexe, "leurs conditions privilégiées" ne sont d’autre chose que l’accomplissement du milieu nécessaire pour réaliser "le rappel" à des liaisons toujours plus complexes entre les atomes des éléments. 

     Dans B3 une nouvelle voie d’agrégation de la matière apparaît, différente de celle des cristaux, la voie des liaisons harmoniques, fonctionnelles, strictement dépendante des paramètres du milieu, ayant pour résultat une nouvelle entité – la cellule. Essayons de souligner une possible variante de passer à la structure vive de la matière, offerte par le modèle atomique de flux énergétique. Une caractéristique générale des structures atomiques est la vibration. Tout comme la liaison du nucléon avec l’électron détermine un mouvement permanent d’approchement ou d’éloignement, l’électron se trouve donc dans une vibration permanente par rapport au nucléon, de la même manière les liaisons entre les atomes d’un cristal vont déterminer une vibration continue. Ces vibrations reflètent "la plage", la tolérance de la stabilité de la structure.

      Quand le milieu est "pauvre", donc l’énergie cinétique environnante est petite, la vibration est diminuée et la stabilité augmentée. Au contraire, quand le milieu est "riche", la vibration augmente et tend à rompre les liaisons, vers la désagrégation. Le phénomène est bien connu et utilisé en technologie. Mais les autres états d’agrégation de la matière sont accompagnés aussi par ce phénomène. Cela nous fait supposer que, parmi les cinq éléments de base du vif, ce phénomène fonctionne dans des limites très larges, des vibrations simples jusqu’à des échanges de liaisons, les phénomènes étant strictement favorisés par le milieu, l’énergie cinétique, à rôle déterminant dans les structures vivantes. Dans ces conditions, le milieu et les forces de liaison sont conditionnées réciproquement au niveau local (au milieu riche les forces de liaison diminuent et inversement), formant une véritable "pompe biologique". "Ici" doit être "le jeu à la vie", - le moteur du vif. Même si ces "bio-oscillateurs", des groupes d’éléments avec des modifications conditionnées réciproquement, plus simplement avec "des liaisons harmoniques", paraissent avoir des oscillations de type "entretenu" et que l’impulsion, ou les facteurs qui entretiennent les oscillations "et les prennent" du dehors du groupe, le temps, la durée des oscillations est limitée. Les bio-oscillateurs avec leurs liaisons harmoniques pourraient constituer "les briques", de l’édification de la cellule. Ils pourraient être aussi ce qu’on appelle aminoacides, enzymes virus etc.

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B4) La Multiplication des cellules créent la bio-structures des minéraux.

    Dans B4, la multitude de cellules et leurs propriétés rendent possible leur association et spécialisation, la formation de nouvelles entités, des matières, qui constitueront à leur tour des organismes vibratoires, les minéraux.

    La création d’une population minéral va permettre le début d’une vie terrestre. Les éléments énergétiques venant par radiations du Cosmos vont transformer les gaz existant en un magma volcanique, qui en se refroidissant va constituer le règne minéral.

B5) La Multiplication des minéraux créent le règne des plantes

 Dans B5, la multitude de cellules minérales et les molécules créées par leurs vibrations produisent de nouvelles entités, des tissus, qui constitueront à leur tour des organismes vivants, des plantes.

     La multiplication des minéraux se créera grâce à la chaleur de l’état volcanique de la terre et à l’ajout de nouvelles substances de flux énergétiques provenant du Cosmos

     Cette évidence remet en cause la notion d’immuabilité de notre monde, notion scientifique très contestable. Car cette notion ne laisse aucune place à l’évolution de la matière, donc remet en cause le flux énergétique, donc le divin.

B6) La Multiplication des végétaux crée le règne des animaux.

     La population de plantes dans B6 est représentée par le règne végétal.

     Petit à petit, la végétation s’élargit de l’eau vers la terre, améliore son milieu, stimulée par la lumière et la circulation de l’eau, forme le sol fertile et revêt la planète d’un nouveau vêtement – la biosphère.

Réellement cet "habit" planétaire est un nouveau niveau, un nouveau stade d’organisation matérielle, un état dynamique, cyclique et oscillatoire à de nouvelles possibilités combinatoires et de nouveaux "rappels" vers une organisation complexe de la matière.La diversité et la variété morphologique des plantes, ont des relations avec les stimuli, ajoutant un nouveau type de relations entre les individus et surtout entre les espèces, résultat de la "densité" des organismes végétaux.Le résultat de la cohabitation de la multiplication de B6 transforme les réactions de réponse aux stimuli naturels, des actions réflexes en "sens" spécifiques. La nouvelle catégorie des êtres vivants se différencie petit à petit, se présentant comme des organismes mobiles, avec des différences de plus en plus essentielles envers le règne animal, mais qui se développent dans le milieu préparé par celui-ci, comme une succession naturelle dans l’évolution de l’organisation de la matière – l’organisme animal.

B7) La Multiplication des animaux crée le règne de l’homme

     La population de ces organismes forme dans B7 le règne animal.

     Celui-ci se développe dans une adaptation continue au milieu ambiant, conformément à la sélection naturelle. Les animaux perfectionnent leurs organes "auxiliaires", comme réponse aux stimules de milieu. Ainsi, les organes de locomotion des animaux ont eu pour point de départ les formes primitives de cils, arrivant à une grande diversité, imposée par les conditions du milieu où ils vivent. Aux animaux de terre se sont développés les pieds, variés comme forme et performances. Aux animaux d’eau, les organes de locomotion se sont adaptés aux conditions de ce milieu et ont une forme d’ailerons ou de pale.     Les oiseaux ont développé des ailes, adaptées aux conditions du milieu atmosphérique et des griffes, variées comme forme et performances. Les organes d’orientation aux animaux sont en réalité des organes de sens. Ils sont des réponses spécialisées aux stimuli du milieu naturel.

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     Au début, les stimuli étaient réceptionnés d’une manière différenciée, par toutes les cellules de la surface du corps - par le tégument. De celui-ci se sont imposées petit à petit la différenciation et la spécialisation des organes de sens. Si les obstacles solides ont stimulé le développement et la spécialisation des organes tactiles, le rayonnement lumineux a stimulé la structuration des organes du sens visuel, les vibrations acoustiques ont stimulé le développement des organes du sens auditif etc.

     Mais les organes de sens ne sont spécialisés que dans la réception des informations, qui sont transmises au cerveau par le système nerveux, un autre organe "auxiliaire" dont la structure cellulaire est spécialisée dans l’interprétation des informations et le renvoi des décisions aux organes d’exécution. Les organes de sens, le cerveau et les organes d’exécution forment un système qui "répond" aux stimuli naturels...

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